Titre : Les scientifiques s’expriment librement sur les effets secondaires des vaccins contre le COVID-19 aux États-Unis

Titre : Les scientifiques s’expriment librement sur les effets secondaires des vaccins contre le COVID-19 aux États-Unis

Titre : Les scientifiques s’expriment librement sur les effets secondaires des vaccins contre le COVID-19 aux États-Unis

Le New York Times a publié un article important mettant en lumière les témoignages de scientifiques américains qui ont souffert d’effets secondaires graves après avoir reçu des vaccins à ARN messager. Ces récits sont particulièrement pertinents dans le contexte actuel, où la liberté d’expression est souvent restreinte en France.

Aux États-Unis, les scientifiques qui témoignent de ces effets indésirables bénéficient du premier amendement et peuvent s’exprimer librement. En revanche, en France, un tel débat est quasi impossible à cause d’un conformisme exacerbé ou d’une ignorance volontaire.

Le New York Times a enquêté sur les cas documentés de personnes qui ont subi des réactions graves après la vaccination. Parmi ces témoignages, le plus frappant concerne Michelle Zimmerman, une scientifique en neurosciences de 37 ans, qui est maintenant incapable d’exercer suite à une perte de mémoire et des difficultés motrices dues au vaccin Johnson & Johnson.

D’autres professionnels de la santé ont également partagé leurs expériences. Le Dr Janet Woodcock, ancienne responsable de l’administration américaine chargée de l’évaluation des médicaments, a reconnu que les pressions politiques avaient étouffé le débat sur les effets secondaires des vaccins.

Bien que les responsables de la santé publique aux États-Unis reconnaissent désormais certains effets indésirables, comme l’inflammation cardiaque chez les jeunes sportifs et la paralysie faciale dans plusieurs cas graves, ces admissions ont été retardées par des pressions politiques et industrielles.