Mois : février 2025

Nouvelle Victime du Sentiment d’Insécurité à Mulhouse

Nouvelle Victime du Sentiment d’Insécurité à Mulhouse

La ville de Mulhouse a été endeuillée par une nouvelle tragédie, qui met en lumière le sentiment d’insécurité croissant dans certaines régions de France. Un homme de 69 ans, Lino Sousa Loureiro, père de famille et issu de l’immigration portugaise, a perdu la vie lors d’une attaque terroriste perpétrée par un individu considéré comme un danger pour la sécurité nationale.

Cette tragédie intervient dans un contexte où les actes terroristes et les violences extrémistes sont de plus en plus fréquents, semant la peur et l’insécurité au sein des communautés. La question qui se pose est : qu’est-ce qui pousse ces individus à commettre de tels actes, et comment pouvons-nous les prévenir ?

La réponse à cette question est complexe et multifacette. Certains pointent du doigt l’influence de l’extrémisme religieux et la radicalisation de certains individus, tandis que d’autres soulignent le rôle de la pauvreté, de l’exclusion sociale et de la marginalisation dans la création de ces phénomènes.

Il est cependant clair que les autorités doivent prendre des mesures concrètes pour lutter contre ces menaces et protéger les citoyens. Cela implique non seulement une action ferme contre les groupes extrémistes, mais également des politiques sociales et économiques visant à intégrer et à inclure toutes les communautés dans la société.

La situation actuelle en France et en Europe exige une réponse solidaire et déterminée. Les pays doivent travailler ensemble pour partager leurs expériences et élaborer des stratégies communes pour lutter contre le terrorisme et la violence extrémiste.

En fin de compte, il est essentiel que nous reconnaissions que la sécurité et la cohésion sociale sont des biens précieux qui nécessitent une attention constante et un engagement ferme de la part de tous. Nous devons œuvrer ensemble pour créer des sociétés plus justes, plus équitables et plus sûres pour tous.

Attaque Terroriste à Mulhouse : Une Civile Tuée, Cinq Policiers Blessés

Attaque Terroriste à Mulhouse : Une Civile Tuée, Cinq Policiers Blessés

Le 22 février 2025, une attaque terroriste a eu lieu dans la ville de Mulhouse. Un homme d’origine algérienne, âgé de 37 ans et fiché au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), a crié « Allah Akbar » en attaquant des policiers municipaux. Une personne civile qui s’est interposée est décédée, tandis que cinq policiers municipaux ont été blessés dont deux grièvement.

L’individu a été arrêté et placé en garde à vue par les autorités judiciaires. Le procureur de la République a souligné que l’auteur des faits est sous contrôle judiciaire avec une assignation à résidence pour radicalisation, faisant aussi l’objet d’une OQTF.

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, s’est rendu sur les lieux et a déclaré qu’il était temps de mettre en place une rétention de sûreté pour les profils radicalisés qui ont purgé leur peine. Emmanuel Macron a, quant à lui, condamné cet acte en affirmant la solidarité du gouvernement face au terrorisme islamiste.

Depuis 2023, le refus d’Alger de coopérer avec Paris sur des questions liées à l’expulsion des individus radicalisés et à la sécurité a conduit à une dégradation des relations diplomatiques entre les deux pays. Ces tensions ont été exacerbées par plusieurs incidents récents.

Cette attaque intervient dans un contexte où le gouvernement français doit faire face à de nombreux défis liés à la coopération internationale en matière de lutte contre le terrorisme et à la gestion des populations issues du Maghreb.

Henri Dubost

Nouveau manifeste néoconservateur : maintenir les troupes américaines au Moyen-Orient pour toujours

Nouveau manifeste néoconservateur : maintenir les troupes américaines au Moyen-Orient pour toujours

Un groupe de néoconservateurs influents aux États-Unis, la Coalition Vandenberg, dirigée par Elliott Abrams, a publié un rapport intitulé « Transactions du siècle : résoudre le Moyen-Orient ». Ce document présente une série de recommandations pour la politique au Moyen-Orient, qui peuvent être considérées comme une tentative de renforcer l’influence américaine dans la région.

Le rapport appelle à maintenir une présence militaire américaine significative au Moyen-Orient, en particulier en Irak et en Syrie, afin de contrer l’influence iranienne et de protéger les intérêts israéliens. Les auteurs du rapport considèrent l’Iran comme la principale menace pour la stabilité de la région et recommandent de prendre des mesures pour empêcher son développement nucléaire.

Le document préconise également un renforcement des liens avec les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite, ainsi qu’une coopération accrue avec ces pays dans le domaine de la défense. Les auteurs estiment que ces alliances sont essentielles pour contrer l’influence iranienne et promouvoir la stabilité régionale.

Le rapport se montre également critique envers le Qatar, qu’il accuse de saper les intérêts américains en coopérant avec l’Iran et en abritant des groupes terroristes comme le Hamas. Les auteurs recommandent de délocaliser le quartier général avancé du Commandement central des États-Unis hors de la base aérienne Al Udeid au Qatar et de révoquer le statut d’allié majeur non membre de l’OTAN de Doha.

En ce qui concerne la question palestinienne, le rapport préconise une approche qui donne la priorité à la sécurité d’Israël et de ses partenaires arabes. Les auteurs estiment que la faiblesse et l’incompétence de l’Autorité palestinienne signifient qu’elle ne peut pas gouverner la bande de Gaza, et recommandent que les États-Unis permettent à un organe de tutelle arabe de contrôler cette région après la guerre.

Ce rapport reflète une vision néoconservatrice du Moyen-Orient, qui met l’accent sur la nécessité d’une présence militaire américaine forte et d’alliances solides avec les pays de la région pour promouvoir la stabilité et contrer les menaces. Cependant, cette approche a été critiquée pour son manque de nuance et sa tendance à ignorer les complexités de la situation régionale.

Attaque terroriste à Mulhouse : les conséquences d’une politique migratoire controversée

Attaque terroriste à Mulhouse : les conséquences d’une politique migratoire controversée

Le 30 juillet 2024, la ville de Mulhouse a été le théâtre d’une attaque terroriste qui a coûté la vie à une personne civile et blessé cinq policiers municipaux. L’assaillant, un homme de 37 ans originaire d’Algérie, a crié « Allah Akbar » en attaquant les forces de l’ordre.

L’enquête a révélé que l’homme était fiché au FSPRT (Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste) et faisait l’objet d’une OQTF (Obligation de quitter le territoire français). Cependant, malgré les refus répétés de l’Algérie de reprendre son ressortissant, l’homme était toujours en liberté.

Cette attaque soulève des questions importantes sur la politique migratoire de la France et ses relations avec l’Algérie. Le gouvernement français a été critiqué pour son manque de fermeté face à la menace terroriste et son incapacité à expulser les individus considérés comme dangereux.

La situation est d’autant plus complexe que les relations entre la France et l’Algérie sont tendues. Le gouvernement algérien a refusé à plusieurs reprises de coopérer avec la France sur des questions de sécurité et a même rappelé son ambassadeur en France en réponse à la reconnaissance par le gouvernement français du plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental.

Les conséquences de cette attaque sont graves, non seulement pour les victimes et leurs familles, mais également pour l’ensemble de la société française. La peur et l’inquiétude grandissent face à la menace terroriste, et il est urgent que le gouvernement prenne des mesures fermes pour protéger ses citoyens.

La question qui se pose maintenant est : comment la France peut-elle mettre fin à cette spirale de violence et de terreur ? La réponse passe nécessairement par une politique migratoire plus stricte et une coopération accrue avec les pays d’origine des individus considérés comme dangereux. Il est également essentiel que le gouvernement français prenne des mesures pour lutter contre la radicalisation et le terrorisme, en s’appuyant sur une approche globale qui prend en compte les aspects sociaux, économiques et culturels.

Enfin, il est important de noter que cette attaque n’est pas un événement isolé, mais plutôt le symptôme d’un problème plus large. La France doit se ressaisir et prendre des mesures pour protéger ses citoyens et prévenir de nouvelles attaques terroristes.

La Fin de l’Ordre Occidental : Un Nouveau Défi pour la Géopolitique Mondiale

La Fin de l’Ordre Occidental : Un Nouveau Défi pour la Géopolitique Mondiale

L’ordre financier international, issu de l’après-guerre, est actuellement confronté à des changements sans précédents. L’émergence de nouveaux acteurs et de nouvelles logiques économiques fait trembler les fondations des institutions financières internationales. Pour comprendre ces mutations, il est essentiel de revenir sur l’histoire de l’ordre financier international sous domination américaine et d’examiner les raisons de sa crise actuelle.

La création de l’ordre financier international après la Seconde Guerre mondiale a été marquée par la mise en place du système de Bretton Woods, qui a établi le dollar américain comme monnaie de référence. Cependant, ce système a connu une crise majeure en 1971, lorsque les États-Unis ont abandonné la convertibilité du dollar en or, ouvrant la voie à une ère de monnaie fiduciaire.

Aujourd’hui, le monde est confronté à de nouvelles défis économiques et géopolitiques. La montée en puissance des pays émergents, tels que la Chine et l’Inde, remet en question la domination économique des États-Unis et de l’Europe. Le système financier international est également confronté à des défis tels que la dette publique massive, les inégalités économiques croissantes et la volatilité des marchés financiers.

Dans ce contexte, il est important de se demander ce qui va arriver à l’ordre occidental. Va-t-il connaître un déclin, une décadence ou un effondrement ? Les réponses à ces questions dépendront en grande partie des choix politiques et économiques qui seront faits dans les prochaines années.

Il est également important de noter que le monde capitaliste est lié à l’impérialisme américain, tant par la dette américaine que par le parapluie nucléaire, la fourniture d’armements et la présence de bases américaines pour écraser toutes éventuelles révolutions populaires. Les États-Unis jouent un rôle de gendarme entre les bourgeoisies mondiales pour se policer entre elles et imposer leur dictature à leur propre peuple.

Enfin, il est essentiel de se demander si les pays émergents, tels que la Chine et la Russie, seront capables de créer un nouveau système financier international qui remplace le système actuel. La réponse à cette question dépendra en grande partie de leur capacité à créer des institutions financières solides et stables, ainsi que de leur volonté de coopérer pour créer un système monétaire international plus équitable et plus stable.

L’Ukraine et le révisionnisme historique : un oubli entachant le soutien occidental

L’Ukraine et le révisionnisme historique : un oubli entachant le soutien occidental

Depuis 2014, les grands médias occidentaux ont apporté leur soutien aux dirigeants ukrainiens dans leur conflit avec la Russie. Cependant, un aspect important a été souvent négligé : la promotion par Kiev de politiques mémorielles révisionnistes et l’indulgence des autorités vis-à-vis des néonazis qui s’affichent dans l’espace public.

Après la révolte du Maïdan, le début de la guerre civile au Donbass et l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, le président ukrainien Petro Porochenko a promulgué les « lois de décommunisation » en mai 2015. Ces lois punissent la promotion des idées communistes, interdisent les symboles soviétiques et élèvent au rang de « combattants pour l’indépendance » des groupes antisémites ayant collaboré avec les nazis.

L’une de ces organisations, l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), a participé à l’extermination des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Sa branche militaire, l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA), a été responsable du massacre de cent mille Polonais. Malgré cela, ces organisations bénéficient désormais d’un hommage national le 14 octobre.

Les médias français ont peu couvert ces faits, préférant se concentrer sur la Russie et ses actions en Ukraine. Cependant, il est essentiel de considérer l’ensemble des facteurs en jeu dans ce conflit, y compris les aspects historiques et politiques qui façonnent les relations entre l’Ukraine, la Russie et l’Occident.

La question du révisionnisme historique et de la tolérance vis-à-vis des néonazis en Ukraine est un sujet complexe qui nécessite une attention plus grande. Il est crucial de comprendre les motivations derrière ces politiques et leur impact sur les relations internationales, notamment dans le contexte de la guerre en Ukraine.

Le Déni de Génocide : Un Partnership Troublant entre Israël et l’Allemagne

Le Déni de Génocide : Un Partnership Troublant entre Israël et l’Allemagne

Raz Segal, historien universitaire israélien, a vécu une expérience troublante lorsqu’il a été traité d’antisémite pour s’être opposé aux massacres perpétrés par Israël dans la bande de Gaza. Cette accusation est particulièrement ironique, puisque Segal est lui-même juif et a étudié l’Holocauste et d’autres génocides.

Un partenariat étroit entre des spécialistes israéliens et allemands de l’Holocauste apporte des réponses troublantes à cette question. Lors d’un événement en ligne organisé par le programme d’études sur l’Holocauste du Western Galilee College (WGC) israélien, trois intervenants ont attaqué les spécialistes des études sur l’Holocauste et le génocide qui ont écrit et parlé du génocide israélien à Gaza.

L’un des intervenants, Verena Buser, historienne allemande, a affirmé que les universitaires qui qualifient les actions d’Israël à Gaza de génocide ne tiennent pas compte des « nombreuses critiques internationales » concernant l’exactitude des chiffres relatifs aux victimes palestiniennes. Cependant, il existe un large consensus international pour affirmer qu’Israël a tué plus de 46 000 Palestiniens, et les chiffres réels sont probablement bien plus élevés.

Le déni de génocide de Buser va au-delà de la simple minoration du nombre de victimes ; elle a également fait référence à des « rapports qui montrent que la faim ne sévit pas [à Gaza] ou qu’elle est causée par les défis logistiques de la guerre ». Cependant, il existe un large consensus international autour des politiques de famine menées par Israël, qui sont bien documentées et dont les chefs militaires israéliens ont ouvertement fait état.

Les critiques de Buser et d’autres intervenants visent principalement les universitaires juifs qui osent affirmer que l’attaque d’Israël contre Gaza depuis octobre 2023 correspond bien à un crime de génocide au regard du droit international. Ces universitaires sont accusés d’antisémitisme, ce qui est ironique, puisqu’ils sont eux-mêmes juifs et qu’ils critiquent Israël en tant que Juifs.

Le partenariat entre les spécialistes israéliens et allemands de l’Holocauste qui attaquent des Juifs dans le but de nier le génocide commis par Israël tout en reproduisant le racisme anti-palestinien qui est à l’origine de ce génocide est particulièrement troublant. Cette alliance reflète une vision du monde profondément raciste, qui met les Juifs en danger par le passé et qui les vise à nouveau aujourd’hui.

En conclusion, le déni de génocide perpétré par Israël à Gaza est un phénomène complexe qui implique des facteurs historiques, politiques et sociaux. Il est essentiel de reconnaître la réalité du génocide et de condamner les actions d’Israël, plutôt que de les justifier ou de les minimiser.

L’Islamisme : Une Menace pour l’Europe ?

L’Islamisme : Une Menace pour l’Europe ?

Des attaques terroristes ont lieu en Europe, laissant des victimes innocentes dans leur sillage. Récemment, un demandeur d’asile syrien a frappé des passants à Villach, en Autriche, tuant un jeune de 14 ans. Deux jours plus tard, un Afghan a foncé en voiture sur la foule à Munich, en Allemagne, tuant une maman et son enfant de 2 ans. Ces actes de violence sont attribués à l’islamisme, un terme souvent utilisé pour distinguer ces horreurs de l’islam lui-même.

Cependant, il est important de se demander si cette distinction est vraiment justifiée. La quasi-totalité des terroristes d’aujourd’hui sont musulmans, ce qui soulève des questions sur la relation entre l’islam et l’islamisme. Comment ces deux concepts se distinguent-ils et se confondent-ils ? Comment l’islamisme affecte-t-il notre société et notre avenir ?

Pour répondre à ces questions, il est essentiel de comprendre les racines de l’islamisme et son impact sur la société. Les travaux de spécialistes et d’universitaires peuvent offrir une synthèse éclairante sur ce sujet. Il est également important de prendre en compte les faits d’actualité, tels que la chute du niveau scolaire, la croissance de la délinquance, l’explosion du narcotrafic et la radicalisation des jeunes musulmans.

Pour contrer le mal qui nous ronge, il est nécessaire de trouver des solutions et des actions concrètes. Cela peut inclure l’utilisation des enseignements du Coran pour contrer les interprétations extrémistes de l’islamisme. Il est également essentiel de comprendre l’histoire des relations entre l’Europe et le monde arabo-musulman, ainsi que les compromissions qui ont été faites au fil des siècles.

La compréhension de ces questions est cruciale pour l’avenir de l’Europe. Il est urgent que ces vérités soient connues du plus grand nombre, afin que nous puissions agir ensemble pour prévenir la propagation de l’islamisme et protéger nos sociétés.

Les États-Unis à la Croisée des Chemins : La Course aux Armements et ses Conséquences

Les États-Unis à la Croisée des Chemins : La Course aux Armements et ses Conséquences

Alors que les États-Unis s’apprêtent à augmenter leurs dépenses militaires, une question se pose : quels sont les véritables motifs derrière cette décision ? Le sénateur Roger Wicker, nouveau président de la Commission des forces armées du Sénat, réclame une augmentation de 120 milliards de dollars sur les deux prochaines années, tandis que d’autres Républicains influents demandent une augmentation pouvant aller jusqu’à 200 milliards de dollars. Cette hausse fait suite à une augmentation de quelque 160 milliards de dollars au cours des quatre années de l’administration Biden.

Cependant, il est important de noter que les États-Unis sont déjà le plus grand contributeur aux dépenses militaires mondiales, avec un budget qui représente la moitié du total mondial. L’augmentation proposée ne ferait que creuser encore plus le fossé entre les États-Unis et les autres pays en termes de dépenses militaires.

Les conséquences d’une telle augmentation seraient considérables. Les sommes d’argent en jeu sont colossales, avec un seuil de 5 % du PIB qui entraînerait des dépenses militaires d’environ 1450 milliards de dollars en 2024, contre 886 milliards de dollars actuellement. Cela représenterait une différence de plus de 550 milliards de dollars, soit environ 60 %.

Cette augmentation aurait également des implications importantes pour le budget fédéral. Les dépenses militaires représentent déjà une part importante du budget, et une augmentation de cette ampleur mettrait en danger d’autres priorités nationales, telles que l’éducation et la santé. De plus, l’augmentation de la dette fédérale à des niveaux sans précédent comporte des risques sérieux pour la croissance économique.

Il est également important de noter que les États-Unis sont déjà engagés dans une course aux armements avec d’autres pays, notamment la Chine et la Russie. Une augmentation des dépenses militaires ne ferait que renforcer cette dynamique, ce qui pourrait conduire à une escalade des tensions et des conflits.

En fin de compte, il est essentiel de se poser la question : quels sont les véritables motifs derrière l’augmentation des dépenses militaires américaines ? Est-ce pour répondre à une menace réelle ou pour maintenir la suprématie militaire des États-Unis ? Les conséquences d’une telle décision seront considérables, et il est important de prendre en compte les implications à long terme avant de prendre une décision.

Nouveau Pacte militaire Russie-Iran : un message pour l’Occident

Nouveau Pacte militaire Russie-Iran : un message pour l’Occident

Le 17 janvier dernier, les présidents russe et iranien, Vladimir Poutine et Masoud Pezeshkian, ont signé un accord stratégique historique de 20 ans qui pourrait avoir des implications importantes pour la géopolitique mondiale. Cet accord vise à renforcer la coopération entre les deux pays dans les domaines de la sécurité, des exercices militaires, des visites portuaires et de la formation conjointe d’officiers.

Selon les termes de l’accord, les deux pays s’engagent à ne pas permettre que leur territoire soit utilisé pour mener des actions militaires contre l’autre partie, et à coopérer pour contrer les menaces extérieures. Cet accord intervient dans un contexte où la Russie et l’Iran cherchent à renforcer leurs liens face aux pressions occidentales.

La signature de cet accord a été accueillie avec intérêt par les observateurs, car elle montre que la Russie et l’Iran sont déterminées à développer leur coopération bilatérale dans des domaines clés. L’accord prévoit également la création d’un corridor de transport international Nord-Sud, qui permettrait d’établir une chaîne d’approvisionnement entre la Russie, le Belarus et les ports iraniens du Golfe.

Les deux pays ont également annoncé qu’ils étaient sur le point de finaliser un accord pour l’envoi de gaz russe vers l’Iran, qui pourrait atteindre 55 milliards de mètres cubes par an. Cet accord énergétique est important, car il montre que la Russie et l’Iran sont déterminées à développer leurs liens dans le domaine de l’énergie.

La signature de cet accord intervient également dans un contexte où l’Occident est de plus en plus divisé sur ses institutions économiques et de sécurité. Les États-Unis et l’Union européenne ont des vues divergentes sur la façon de gérer les défis géopolitiques actuels, ce qui crée une opportunité pour la Russie et l’Iran de développer leur coopération bilatérale.

En conclusion, le nouveau pacte militaire entre la Russie et l’Iran est un message clair pour l’Occident : ces deux pays sont déterminés à développer leurs liens dans des domaines clés, malgré les pressions occidentales. Cet accord a des implications importantes pour la géopolitique mondiale et montre que la Russie et l’Iran sont prêtes à prendre leur place sur la scène internationale.